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« Votre fille est géniale, jamais vu avant une enfant qui s’intéresse à tout »
« Avec les mères qu’elle a cet enfant va finir dans le domaine artistique » lance Phyllis
« En tout cas elle adore la photo »
« C’est vrai que le petit numérique que tu lui as offert, elle ne le quitte plus, elle prend tout en photos »
Angelica est assise sur les genoux d’Helena qui a devant elle son ordinateur portable et montre à la petite fille comment s’amuser avec les photos qu’elle a prises.
« Tu vois Angelica, tu peux modifier les couleurs, tu as compris, tien essai toute seule »
« C’est géniale tata Helena, c’est facile, regarde maman T elle est toute rose »
Helena rigole en voyant la réaction de la petite fille qui découvre tout ce qu’un ordinateur peut faire.
« Tata Alice »
« Salut princesse, alors je ne peux plus écrire sur ta jambe »
« Non, mais j’ai garder le plâtre avec tous les dessins que vous avez fait »
« Tu as raison, ta mère va en faire un œuvre d’art » répond Alice en souriant à Betty
« Pourquoi pas »
Angelica déchire le papier et découvre la dernière console nintendo ds
« Super maman ne voulait pas me l’offrir »
« Et voilà c’est moi le monstre » dit Betty en soupirant
« Elles sont belles mes mamans »
(J'aime ta façon de dépeindre Angelica, elle a un rôle important dans la série et égalemnet dans tes fictions, c'est toujours un régal!)
« Tu arrêtes, tu viens tu t’amuses, ça suffit maintenant de te voir faire la tête »
« Doucement Maggie, ok je suis encore ton capitaine »
« Oui mais aussi mon amie, alors il ne reste qu’une journée ici, on s’éclate un peu et on oublie tous les problèmes »
Tasha les regarde et sourit pour la première fois depuis bien longtemps.
« Ok vous avez raison, je me rends »
Maggie et Patricia soulève le transat et le balance dans la piscine, sous le regard amusé des autres militaires.
« Vous allez me payer ça les filles » lance Tasha en riant aux éclats.
« Surprise, installe toi devant l’ordinateur, on t’aime capitaine »
« C’est tellement surprenant de te voir, que je n’arrive pas à penser, hey tu es nue ? »
« Maillot de bain j’étais dans la piscine avec Angelica, mais si cela te fait plaisir je peux… »
« Non surtout pas comment fais-je pouvoir me concentrer après ça » répond-elle en souriant
Un petit garçon d’environ cinq ans complètement paniqué par le bruit assourdissant des tirs, cours dans la rue.
« Merde il va se faire dégommer, j’y vais »
Avant que ses hommes est pû l’empêcher, Tasha court sous les balles pour prendre le petit garçon dans ses bras.
« Quel horreur, deux morts, quatre blessés et tout ça pour un mec qui avait juste une diarrhée »
« Mais c’est le fils d’un sénateur » répond Jill fataliste
« Salut capitaine »
« Hey Jill, enfin une amie qui vient me voir, désolé de ne pas me lever pour t’accueillir »
« Toujours drôle, tu ne souffres pas trop »
« Tu veux lui parler »
« Ah qui ? » s’étonne Tasha
« Alice patate »
« Bien sûr, et après je me fais renvoyer de l’armée, t’oubli que les postes téléphoniques sont sur écoute »
« Oui, mais pas le portable personnel du Colonel »
« Quoi »
« Et oui, ma veille il t’aime bien le vieux, attend je compose le numéro »
(J'aime l'amitié décrite dans l'armée et le caractère de Tasha est sublime dans cette fiction en particulier. La réaction face aux morts inutiles et innocentes me fait adoré cette militaire, aisni que son côté héroïque évidemment. La mission pour le fils du sénateur montre bien que même si on prône sans cesse l'égalité de tous les êtres humains, ce n'est jamais le cas, même pour les nations dites "développées"!)
Alice leur fait lire le mail et raconte ce qu’elle ressent depuis son départ.
« Tu es une femme de militaire ma belle »
« Très drôle Tina, moi qui déteste la guerre »
« Et oui mais tu es folle amoureuse d’une militaire »
« C’est le paradoxe justement »
« Fais chier l’amour » dit fermement Alice
(Alice tellement entière, tellement attachante et tellement drôlissime, même dans les pires situations de la vie)
« Helena va nous appeler, Dylan a laissé un message »
« Je vais l’engueuler je te jure faire peur à tout le monde elle ne se rend pas compte »
« Tina la lionne »
« Oui qui rugit…. De plaisir »
Tina laisse tomber son peignoir et lance un regard coquin à Betty.
Tina met sa main sur la nuque de Betty et approche ses lèvres pour un baiser passionné, Betty oublie tout, comme à chaque fois que Tina la touche.
Carmen et Shane toujours enlacé font des cercles dans l’eau.
« Pas de cochonnerie dans notre piscine » lance Tina en faisant semblant d’être outrer
« Tu as raison chérie, y’a que nous qui avons le droit de le faire » répond Betty en poussant Tina dans l’eau
« Tu vas le payer Bette Porter, pas de sexe ce soir »
« Oh non tout mais pas ça »
Betty plonge pour rejoindre sa compagne sous le rire des autres filles.
(J'adore toujours cette complicité en Tina et Bette, leur amour est tellement fort qu'il peut accomplir des miracles ou tout consumer sur son passage. Une force insoupçonable qu'elles arrivent enfin à maîtriser un peu mieux)
« Je vais t’aider à décrocher de la cocaïne, je suis là pour toi. Carmen tu es la personne la plus importante de ma vie. Tu es ma lumière, tu es ma meilleure amie, tu es ma raison de vivre, je t’aime tellement »
(Shane et Carmen dans une très belle déclaration d'amour. J'ai beaucoup aimé le fait que pour une fois ça soit Shane qui vienne en aide à Carmen, ça donne encore plus d'ampleur à ce personnage complexe, mais que nous adorons tous)
Bette emboîte le pas à Tina: Alors, écoutes-moi bien, c'est moi qui dirige l'équipe et qui choisit nos sujets d'investigations. Quant à la galerie, c'est mon bébé, ok!
Tina s'amuse de la réaction intempestive de Bette: Je n'y vois aucune objection. Tu es la meilleure à ce que j'ai entendu, je ne demande qu'à apprendre.
Elle lui décroche son plus beau sourire, ce qui met Bette quelque peu mal à l'aise.
Bette se clame un peu: Rendez-vous demain matin à 7H30 tapante.
Tina: Ca marche, bonne soirée.
Bette: Euh oui, bonne soirée également.
Bette s'en va, pendant que Alice montre son nouveau bureau à Tina.
Alice: T'en fais pas, elle n'est pas toujours comme ça. A vrai dire, elle sait même se montrer très charmante lorsqu'elle le veut. C'est juste qu'elle sort d'une rupture difficile d'avec son ancienne élève artistique Nadia je ne sais plus comment.
Tina compatissante: Cette fille a dû lui briser le coeur.
Shane en passant: Si toutefois elle a un coeur. Bon Alice, on y va, j’ai rancard moi ce soir.
Alice : Ca y est, j’arrive ! Bonne soirée Tina.
Tina se laisse tomber sur sa chaise de bureau.
j'aime bien ce passage qui décrit les relations Betty/Tina (Betty directive et aussi sur la défense (quant à la galerie c'est mon bébé) et Tina, calme, douce, usant de son charme. Et Alice, la bonne copine qui prend la défense du plus "faible"
c'est une excellente mise en place des personnages
La secousse a été particulièrement violente cette fois-ci, l’échangeur sur lequel roulait le chauffeur de Jodie avec Bette a son bord, a subi de grand dégât et menace de s’effondrer.
Voix de Bette : Au secours, mon Dieu, aidez-nous !!!
Tina quitte le club de tennis dans la fraction de seconde et vole à son secours. Lorsqu’elle arrive sur place, Tina comprends que tout va s’effondrer et elle se jette sous le pont pour tenter de le retenir et de ressouder le béton armé par son regard laser, sans savoir toutefois si ça force sera suffisante.
Secouriste : Mais qui est donc cette nana ?
Pompier : Jamais vu un truc pareil.
Flic : En tout cas, très sexy sa tenue.
Chef d’intervention : Et bien, rendons-nous utiles et tentons de l’aider du mieux que nous pourrons. En avant !
L’équipe d’intervention évacue déjà toutes les voitures et les personnes auxquelles ils peuvent accéder, il ne reste que la limousine de Jodie Lerner qui ne se trouve qu’à deux pas de la faille. Tina redouble d’effort et une fois certaine que la plate-forme est stable, elle s’empresse de libérer le chauffeur et Bette qu’elle dépose sur la terre ferme sous les applaudissements de la foule.
Bette reprenant ses esprits : Je vous ai vu en premier, vous me devez l’exclusivité.
Tina incognito : Est-ce une règle immuable ?
Bette bafouillant : Non, mais un vive souhait.
Tina en prenant son envol : Je vais y réfléchir.
Secouriste : Quelle classe !
Pompier : Au fait, que signifie le S sur sa poitrine ?
Bette en se laissant tomber sur un brancard : Super, Super-woman !
Ah et voici Super Woman Tina en action, lorsque je lis ce passage j'imagine très bien la scène et c'est là la force de ton écriture Théa.
J'aime les sentiments de Tina que l'on commence à découvrir, Betty qui même après un tel choc trouve le moyen de rester professionnel
c'est vraiment une histoire redoutable que tu as écrite, car lorsque je l'ai commencé impossible de s'arrêter
Maison familiale des Kennard, Waterford Connecticut.
Jonathan surpris : Tina, mais que fais-tu ici, tu ne devrais pas être en Indonésie à aider les gardes-côtes à évacuer la population devant la nouvelle menace de raz-de-marée ?
Tina pensive : Sans doute.
Jonathan à sa femme : Martha, tu sais ce qui se passe ?
Martha hausse les épaules : Je n’en sais rien, ça fait plus d’une heure que j’essaye de la faire parler.
Tina sortant de son mutisme : Jenny veut que j’aide Bette à obtenir une interview de Super-woman, sinon elle me vire.
Jonathan : Il fallait si attendre, une telle sensation n’allait pas passée inaperçue.
Tina : Je sais bien, mais qu’est-ce qui me dit que Bette ne me reconnaîtra pas. Je suis d’ailleurs déjà surprise qu’elle ne l’ai pas encore fait, on passe la plus part de notre temps ensemble, sans oublier que je ne sais plus quoi inventer pour justifier mes absences lorsque je dois venir en aide à des gens aux quatre coins de la planète.
Martha voyant claire en sa fille : Ce n’est pas vraiment cette interview le problème, n’est-ce pas ?
Tina des larmes dans les yeux : Elle n’a d’yeux que pour Super-woman ou à la limite Jodie Lerner, mais moi, je n’existe pas pour elle.
Jonathan lui tendant un mouchoir : Super-woman n’est qu’un symbole de l’espoir qui se cache en chaque être humain, mais Tina c’est ce que tu es réellement. Mais tant que tu n’auras pas fait découvrir cette personne-ci à Bette, elle n’aura aucun moyen de choisir entre toi et Jodie ou le reste du monde.
Tina regarde son père : Vous savez ?
Martha : Evidemment, tu ne fais que vanter les mérites de Bette depuis ton arrivé à Los Angeles. Bette par-ci, Bette par-là, il fallait être aveugle pour ne pas comprendre.
Tina surprise : Et ça ne vous gêne pas, et le gens qu’est-ce qu’ils penseront de vous, à Los Angeles ok, mais ici c’est autre chose, je veux dire… ?
Jonathan la rassurant : Ne t’inquiète pas, tout ce qui compte c’est ton bonheur, et je ne sais pas pourquoi, mais je crois que si on t’a envoyé sur terre, alors qu’ils y avaient des milliers d’autres destinations possibles dans l’univers, c’est justement pour elle.
Tina souriant en prenant son envol : Bien, excusez-moi, je dois vous laisser, j’ai un interview exclusif à donner à mademoiselle Bette Porter.
Les relations avec ses parents sont intéressantes, c'est bien que Tina puisse compter sur de tel parent (c'est une chose que l'on ne voit pas dans la série) j'aime la paix qu'apporte Jonathan et Martha, le calme et on sent l'amour qu'il porte à leur fille et leur clairvoyance
dans ce chapitre, c'est une Tina moins sur d'elle et qui démontre que malgré tous les supers pouvoir du monde, l'amour est le plus puissant
« Je suis vraiment qu’une merde »
« Non Shane, tu es perdu, on fait tout des bêtises même moi j’en ai fais »
(Wow, la grande Bette Porter qui reconnait ses faiblesses et même ses erreurs. Profites-en Shane, c'est plutôt rare. LOL)
« Bien sûr, tu ne veux jamais faire du mal mais tu le fais à chaque fois, regarde avec Carmen, avec Paige, avec Molly, tout ce que tu aimes tu le détruis, tous les gens qui te sont trop proches tu les rejettes en les blessants. » Jenny essuie ses larmes d’un revers de la main.
(Comme quoi le sexe et l'amour ne sont pas qu'un jeu. Je trouve bien que ça soit Jenny qui puisse dire cela à Shane)
« Oh tu fais chier Kit, Tasha m’a quittée »
« Comment ça ? Elle est dingue de toi, qu’est-ce que tu as encore fait »
« Pourquoi moi ? » s’offusque-t-elle
(Beaucoup de personnes trouvent que Kit ne sert à rien dans la série, mais moi c'est justement ce regard externe qui me plait dans son personnage. C'est la seule voix neutre et objective par rapport au monde "lesbien" et c'est un grand plus, surtout dans cette scène écrite par mon auteur favori)
« Jenny c’est plus que de l’amitié que tu ressens pour elle, ne soit pas étonné je le vois lorsque vous êtes toutes les deux, je suis venu pour te dire ça »
« Mais non c’est juste une amie, tu n’aura pas du feu j’ai perdu mon briquet »
« Si tiens » Jodie lui tend un paquet d’allumette
« Merci » Shane les mets machinalement dans la poche de son jean
(Je relève ici une grande préparation de l'auteur à ce qui va suivre. Isis n'écrit pas à tord et à travers, elle est un auteur qui contrôle son sujet de A à Z. Chapeau!)
« TINA JE T’AIME »
Jodie se précipite sur elle et la gifle.
« Tu ne prononces plus ce prénom, à chaque fois tu recevras une gifle mon amour »
Betty la regarde avec défi.
« TINA »
Une nouvelle claque plus forte laisse la trace des doigts sur la joue de Betty qui sous le choc verse quelques larmes de frustrations.
(Ca c'est exactement le trait de caractère que j'affectionne particulièrement chez Bette. Elle sait ce qu'elle veut, ce qu'elle croit et ce qu'elle est. Personne ne saurait lui dicter sa conduite, même pas une menace de mort.)« Il nous faut Max » dit fermement Jenny
« Tiens un café, tu dois être crevé tu as passée la nuit dessus »
« Merci Jenny, j’y suis presque, Jodie est complètement timbrée, Betty est terrifié, j’ai peur pour elle »
« Oui je ne comprend pas, comment l’amour peut se transformer en haine »
« Tu as discuté avec Shane »
« Non et je n’en ai pas l’intention »
« Jenny c’est ton amie »
« Max arrête »
« Et après ça tu ne comprends pas comment l’amour se transforme en haine ! »
(C'est la première fois que j'apprécie réellement l'amitié qui unie Max à Jenny. Ce passage démontre que l'amour et la haine sont cousins germains, mais aussi qu'on voit toujours la haine chez les autres, mais que les prémices qui se trouve dans notre coeur, passent totalement inaperçus. Belle leçon de morale!)
Tasha va s’équiper, Alice s’approche d’elle.
« Je t’aime »
« Alice c’est pas le moment »
« Je t’aime Tasha reviens vivre avec moi »
« Tu as le don pour faire des déclarations à des moments inattendues. »
« Je t’aime »
« J’ai compris Alice » Tasha sourit pour la première fois depuis qu’elles se sont revues. Alice s’approche et l’embrasse sous le regard amusé des forces d’intervention.
« Vas-y Tasha » lance les hommes
« C’est votre amie la célèbre Alice »
« Vous me connaissez ? »
« Elle n’arrête pas de nous parler de vous »
Alice regarde Tasha avec étonnement.
« Bah j’ai quand même le droit d’être fier de sortir avec une star de la télé »
Alice lui donne un coup de poing dans le bras
« Je t’aime »
(Alice à 500%, Alice telle que je l'adore. C'est aussi cool de constater que les hommes qui travaille avec Tasha ne sont pas homophobes, c'est le côté positif de l'auteur j'imagine.)
Jenny est perdu dans ses pensées, elle est plus inquiète qu’elle ne l’aurai pensé pour Shane, et si elle perd son amie que va-t-elle devenir ? La colère qu’elle avait en elle contre Shane à disparu. Vivre avec Shane lui manque, son rire, le regarder fumer, la voir danser, s’amuser. Elle se souvient des petits déjeuners ou Shane arrive toujours à moitié endormi et bougonnant tant qu’elle n’a pas pris son café, elle se souvient de tout ces bons moments passer ensemble, aux pleurs, aux rires, à leur vie. Et si Shane était plus qu’une amie après tout, peut être que les filles ont raison. Non c’est impossible jamais elle n’a vu Shane autrement quand amie. Non c’est impossible, mais si…
(Cette description de la vie commune en tant que collocateurs entre Jenny et Shane est absolument magistrale, j'adore)
Alice met son casque et se sert contre le dos de Tasha, c’est un moment qu’elle adore, sentir entre ses cuisses la puissance du moteur et se tenir serrée contre la femme qu’elle aime, elle oubli tout pendant ces moments là.
(Ca me rappelle mes virées en moto avec mon homme, c'est exactement la même sesation, du moins pour le côté sensuel et érotique évidemment)
« Je sais pas trop, j’avoue que je suis troublée par ces mots et… »
« Shane tu l’aimes » demande Betty
« Oui, je crois que oui » dit Shane en souriant comme si cette révélation lui enlevait un poids
« OUI JE L’AIME »
« Bon alors demain matin on t’emmène la voir »
« Oui, mais j’ai pas envie d’attendre »
« Cette fille est folle » dit Betty en souriant
« Alors analyse bien tes sentiments » dit Betty
« T’inquiète pour moi, tu sais depuis que je vous ai dit que je l’aimais cela me semble tellement logique, bon dieu je dois être folle de ne pas mettre rendu compte que j’avais devant les yeux la femme de ma vie »
Shane est heureuse et sourit. Les filles rigolent en voyant leur amie se comportant comme une enfant.
(Tibette en exemple, mais aussi ce côté de l'amour véritable, celui de l'enfant. J'aime bien cette pensée que l'amour véritable est donné à un esprit d'enfant.)
« Ca va marcher, j’en suis sûr, on se connaît tellement qu’au moins on n’est pas obligée de se découvrir. Tu sais cela fait quand même quatre ans que l’on vit ensemble, la seule chose qui va changer finalement c’est que l’on va partager le même lit »
Shane enlève à son tour ses vêtements, elles se retrouvent bientôt nue l’une contre l’autre. Elles se regardent mais n’ose se toucher.
« C’est fou c’est la première fois que j’ai peur » dit timidement Shane
(Le jour où Shane a des apréhension face à l'acte d'amour, alors c'est que ça doit vraiment être la femme de sa vie qui partage son lit!)
« Bon ok je me lance, je voudrais avoir un enfant »
Tasha se redresse et la regarde bouche bée.
« C’est…. Alice… »
« Bon tu ne veux pas »
Alice fait mine de se lever. Tasha la rattrape et la fait basculer dans le bain.
« Non, bien sûr que non, enfin si je veux un enfant, JE VEUX UN ENFANT »
Alice lève la tête et sourit.
« Ca m’enlève un poids j’avais vraiment peur que tu ne veuilles pas »
« Tu rêves un enfant, le fruit de notre amour, Alice j’y pensais mais je ne pensais pas que toi prêtes »
« Si je suis prête et je porterais notre bébé »
Tasha l’embrasse et laisse la passion qui les unis faire une fois de plus le bonheur d’Alice.
(Je pense que ces deux feraient d'excellents parents. L'honneur, l'amitié, la loyauté et l'humour sont des valeurs essentielleent à transmettre à nos enfants.)
« Hey il n’y a plus qu’une seule célibataire, c’est toi Kit » dit soudain Shane
« Oui je compte bien le rester, je suis tranquille et je m’occupe de ma petite nièce »
« Et bientôt tu auras une autre nièce ou neveu à t’occuper » dit malicieusement Tina
(J'adore cette fin, encore une fois le côté externe de Kit donne plus de réalisme au tout et l'amour et la confiance de Tina envers sa belle-soeur est très poignant.)
Quelque part au-dessus de l’Atlantique.
Super-woman ennuyée : Désolée, mais on dirait que nous devons rentrer immédiatement à Los Angeles, votre meilleure amie a des ennuis.
Bette alarmée : Mon Dieu, Tina !
Super-woman surprise : Euh non, il s’agit d’Alice en fait, mais j’ignorai que vous étiez aussi proche de votre coéquipière.
Bette gênée : Disons que c’est compliqué. J’essaye de m’intéresser à elle, mais chaque fois que ça devient un peu trop personnel, elle s’enferme dans son mutisme ou elle disparaît comme si le monde entier avait plus d’importance que ce que j’étais en train de lui dire.
Super-woman arrivant au-dessus de Los Angeles : Elle me ressemble alors.
Bette : Si on veut, sauf pour les supers pouvoirs évidemment.
Super-woman riant : Evidemment. Attendez-moi là, je vais aller chercher votre amie.
Ah enfin Betty pense à Tina et non à Superwoman, c'est excellent, l'auteur en quelque phrases décrit très bien le conflit interne de Tina qui est tombé amoureuse de Betty, et celui de Betty qui voudrait mieux connaitre sa partenaire mais n'arrive pas à le dire.
Bette se jette dans les bras de Tina.
Bette en larmes : Si je n’avais pas été aussi égoïste, il ne lui serait rien arrivé.
Tina perdue : Que veux-tu dire ?
Bette reniflant : J’ai demandé à Super-woman de m’emmener à Paris et c’est pour ça qu’on est arrivé en retard.
Tina la consolant : Personne ne pouvait savoir ce qui allait se produire, pas même Super-woman, alors inutile de te culpabiliser ainsi. Viens, je te reconduis à la maison.
Bette se ressaisissant gentiment : Il faut avertir les autres.
Tina lui ouvrant la portière de sa voiture : Je vais m’en charger, en attendant, il faut que tu dormes un peu. Tout paraîtra moins grave demain matin.
Bette se sent apaisé par la présence de Tina et se laisse faire.
Encore une fois une réussite, j'aime la fragilité de Betty à ce moment précis du récit, on s'aperçoit que derrière l'image de femme forte, se cache en vérité une femme bourré d'amour pour ses amies mais qui n'ose le dire en face. Tina est protectrice vis-à-vis d'elle (déjà) on s'aperçoit que dans le futur couple qu'elles formeront Tina sera toujours la femme qui permettra à Betty de se reposer et de dévoiler, à elle seule, c'est faiblesse et ses doutes
Bette ravie : Tu ne t’étais jamais envoyé en l’air avant ?
Tina plaisantant : Si tous les jours, depuis mon seizième anniversaire, le jour où en tombant de l’escalier qui mène au grenier, j’ai réalisé que je savais voler.
Bette réalisant son quiproquo : Ce n’est pas ce que j’ai voulu dire.
Tina : Je n’avais pas trouvé la bonne personne pour le faire.
Bette l’embrassant avec fougue : Alors je suis la première.
Tina lui rendant son baiser : La première et la dernière.
beaucoup d'humour et d'amour dans ce passage, j'aime la description de cette première nuit pour notre couple favori. Le quiproquo est très très drôle, je me marre à chaque lecture.
Tina sérieuse : J’écoute avant tout mon cœur, puis je ne me mêle pas des catastrophes naturelles, sauf pour aider les secouristes en temps de très grands cataclysmes, car ça fait partie du destin, et mon père m’a dit de ne jamais chercher à le contrer. Je ne me mêle pas non plus des guerres, car c’est aux êtres humains de trouver la force en eux de faire la paix. Je m’occupe en principe que de la violence gratuite q’on trouve dans les rues, mais rien que la ville de Los Angeles, c’est déjà un boulot à temps plein, tu peux me croire.
Bette : Tu es un don du ciel pour nous tous, alors pourquoi tant de tristesse ?
Tina : Je vois mourir beaucoup de gens, pratiquement pas une journée sans que je sois confrontée à la mort et au deuil. Je sais que je suis une super héroïne et que je dois faire l’impossible pour sauver quiconque croise ma route, mais qui se préoccupe de mes envies, mes besoins, mes rêves ? Suis-je égoïste en disant cela ?
la difficulté et les doutes d'une super héroïne sont très bien rendu dans ces quelques phrases, et peuvent s'appliquer à chaque être humain qui a de la sensibilité pour les autres
un très beau passage plein de lyrisme
Shane de son côté se réveille dans les bras de Carmen qui la regarde dormir depuis plusieurs heures avec tant de tendresse dans les yeux.
Shane émergeant : Je dois être au paradis.
Carmen se penche pour ravir les lèvres de Shane pour l’entraîner dans un baiser de plus en plus passionné.
Shane plonge son regard dans celui de Carmen : C’est bien ce que je disais, je suis au paradis.
Carmen lui sourit et elles se donnent l’une à l’autre pour la première fois.
un très beau moment d'intimité et de tendresse pour le couple Shane/Carmen
j'aime voir Shane dans ces moments là, tu décris très bien, comme toujours de toute façon, le coté tendre et amoureux de ce personnage complexe
Shane n’avait d’yeux que pour son DJ adoré. Elle l’observait jalousement une bière à la main.
Alice : Et moi, je compte pour du beurre ?
Shane ne tournant même pas la tête : Salut Alice. Où est Dana ?
Alice : À son club, elle ne devrait plus tarder maintenant. Je n’aurais jamais pensé te voir dans un tel état un jour.
Shane sirotant sa bière : Quel état, de quoi tu parles Alice ?
Kit : Laisse tomber Alice, notre petite Shane est amoureuse pour la première fois de sa vie.
Shane sans en dire plus : Tu te trompes Kit, mais ce ne sont pas vos affaires.
L'esprit de clan et l'amitié des filles en bien rendu dans ce passage, Alice la bonne copine, Kit qui s'y met, et Shane égal à elle même qui a du mal à avouer ses sentiments
voilà comment un auteur de talent pose un climat en quelques mots
Mais tandis quelles s’éloignent de l’aéroport, Betty regarde, les yeux embués, s’envoler les 747 à destination de L.A et ne peut pas s’empêcher de se poser une dernière question : pourquoi n’était-elle pas à bord ?
(J'aime beaucoup l'introspection de Bette qui se connait bien mal elle-même alors qu'elle ne cesse d'affirmer le contraîre)
Alice (excédée): Franchement je ne comprends vraiment pas pourquoi tu as accepté de revenir vivre ici. Ca ne va vraiment pas t’aider à passer à autre chose.
Tina : J’ai accepté pour Angélica. Parce qu’au fond, même si ça ne me facilite pas les choses, il est bon pour notre fille qu’elle garde ses repères. Une de ses mère est déjà partie vivre loin, je ne veux pas la traumatiser d’avantage.
Alice : Tu n’as pas a faire cette concession, c’est elle qui est partie, c’est elle qui devrait penser à l’équilibre de sa fille.
Shane : Ca suffit Alice, que tu éprouves de la colère c’est normal mais n’enterre pas Tina dans un rôle de victime.
(s’adressant à Tina) : Il te faudra du courage, de la force et de la patience. Mais tu pourras toujours compter sur nous. N’est-ce pas Alice.
(J'aime l'amitié, amsi aussi el caractère de chacune qui se dégage dans ce passage)
(Ai-je déjà dit que j'adorais Tina, non, ben voilà chose faite. Ce passage relâte à merveille toute la noblesse de son coeur. Elle sait reconnaître ses faiblesses, ses tords, tout en aimant Bette chaque jour davantage)
Kit : Qu’est-ce qui ta tracasse ? C’est encore ma soeur, c’est ça ?
Tina (désolée) : Et oui, mais si tu veux bien je n’ai pas trop envie d’en parler pour le moment.
Kit : Je comprends ne t’inquiète pas, va t’assoire, je t’amène ton café.
Tina : Ok Kit, merci.
(Kit prend souvent le parti de Tina face à Bette et cela même lorsque ça contrarie sa petite soeur. Je suppose parce que de l'extérieur Kit reconnais que Tina est le seul bonheur possible pour Bette. Comme quoi une bonne soeur n'est pas toujours celle qui vous donne toujours raison!)
Alice : Non, il faut qu’elle se mette dans le crâne que l’appeler c’est entretenir le lien que Bette a brisé, c’est donc nier la réalité et donc souffrir plus. Alors dorénavant Tina tu ne l’appelles plus, pas plus que tu ne lui envoies de mail ou de texto car il est inutile d’ajouter à ta tristesse, l’angoisse devant ta messagerie qui reste vide. Capito ?
Tina : Oui, compris. C’est fini. C’EST FINI. Il est incroyable que je puisse dire ces huit lettres aussi facilement, alors que je suis incapable de les accepter.
Alice : Tu sais Tina, c’est pour ton bien si je suis aussi dure avec toi. Je me souviens les jours qui ont précédé ma rupture avec Dana.
Shane & Jenny : Oui ba nous aussi on s’en souvient !
(Encore une scène typique entre nos amies. J'adore l'exemple cité par Alice qui n'hésite jamais à se mouiller par son propre vécu pour venir en aide aux autres, tout en risquant d'être prise de haut lorsqu'elle le fait.)
Créateur: Krishna
Jodi : S’il te plait Bette, pas à moi ! Qu’est-ce que c’est ? Tu as du mal à prendre tes marques ici, pourtant tu as déjà vécu à New York, le job tu le connais et l’affectionne, vraiment je ne te comprends pas !
Betty (les larmes aux yeux) : Angélica me manque ! je ne pensais pas que ce serait aussi dure de les quitter.
Jodi : Des les quitter ? De la quitter plutôt.
Betty (tentant de rattraper son lapsus) : Euh oui de LA quitter.
Jodi : Oh non. Betty : Quoi ?! Jodi: Un lapsus est toujours révélateur. Les quitter, tu parles aussi de Tina.
Bette : Non vraiment, ma langue a fourché.
Jodi (ivre de jalousie): Ne nie pas. Je n’arrive pas à croire que tu puisses me faire ça. 1 chose, je t’ai demandé 1 seule chose.
Bette : Je ne peux pas te laisser dire ça. Je suis partie pour toi, j’ai tout quitté pour toi, je ne vois pas quelle autre preuve d’amour je pourrais te donner.
(J'ai beaucoup souris à ce lapsus et en même temps Jodi et Bette sont tellement pas faites l'une pour l'autre que je me demande encore comment Bette a pu en est arrivé là.)
Shane : Alice ça ne fait qu’un jour, commence pas à psychoter. Tu me fais trop rire, tu crois quelle s’ait trouvé une petite Irakienne?! C’est vrai que c’est sexy la djellaba. Plus une fille se voile, plus j’ai envie qu’elle se dévoile.
(J'ai tellement rit à cette sortie de Shane, génial!)
Alice : T’as jamais su mentir Tina.
(J'approuve totalement Alice dans cette déclaration.)
Pendant ce temps la, Tina reçoit 1 sms de Bette « Tu m’as dit un jour ‘ce n’est pas parce que je ne t’écris pas que je ne pense pas à toi’ et bien c’est à moi de te le dire aujourd’hui». Sous le coup de l’émotion ou du trop plein d’alcool, elle laisse tomber son téléphone. Alice arrive au même moment et le ramasse avant de le lui redonner )
Sur le répondeur de Betty : Bette, je sais qu’il est tard enfin tôt, je ne sais plus très bien, mais c’est plus fort que moi. Je pense à toi tout le temps. Je pense à toi la matin, en marchant pour aller au travail. Je fais exprès de marcher lentement pour pouvoir penser à toi plus longtemps. Je pense à toi le soir, quand tu me manques au milieu des fêtes comme celle de ce soir, où je me saoule pour penser à autre chose qu’à toi, avec l’effet contraire. Je pense à toi même quand je ne te vois pas. J’aimerais tant faire autre chose que penser à toi mais je n’y arrive pas. Si tu connais un truc pour t’oublier, fais-le moi savoir.
(J'adore l'amitié précieuse d'Alice pour le couple Tibette et le sms et les messages laissées sur le répondeur sont de véritables déclarations d'amour)
Betty : Moi s’il y a une chose que j’ai appris au fil de mes relations c’est que l’amour dure le temps qu’il doit durer, et ça m’est égal. Mais si tu veux qu’il dure, je crois qu’il faut apprendre à s’ennuyer bien. Il faut trouver la personne avec qui l’on a envi de s’emmerder. Puisque la passion éternelle n’existe pas, recherchons au moins un ennui agréable.
Jodi : Très sympathique ta conception de l’amour. Je ne te savais pas si blasée. Tu as changé Bette depuis ton arrivée. Je met ça sur le compte du temps d’adaptation parce que je tiens a toi mais sache que le monde est fait de 2 catégories : ceux qui aiment et ceux qui sont aimés. J’appartiens à la première des parties, il ne tien qu’à toi de m’y rejoindre.
(Le côté blasé de Bette est remarcablement bien exprimé dans ce passage)
Carmen : Je vois, le plaisir présente un avantage contrairement au bonheur, il a le mérite d’exister c’est ça ?! alors tu vas reprendre ta vie d’avant ? Shane : Non c’est fin ce temps la. Il y a Shay maintenant de ma vie, c’est le plus important. Si je ne peux pas me construire avec la femme que j’aime, je le ferais avec mon frère. Shane : Je ne pense pas ! Le choix est facile mais quel que soit ce que tu choisiras, la suite sera de toute façon compliquée… à toi de voir si ru veux qu’on se complique la vie ensemble !
(Je ne dirai qu'une chose, mais oui compliqons, qu'est-ce que vous attendez pour compliquez les choses à la Sharmen, au moins comme ça nous on s'ennuit pas.)
Créateur: Krishna
Alice : Ce que tu fais est impardonnable. Cesse de la torturer. Il est criminel de ne pas se dépêcher d’être heureux quand on en a enfin l’occasion.
Betty : Mais de qui tu parles ?
Alice : De Tina, de qui veux-tu que je parles d’autre ?
Betty : Ah, c’est elle qui t’envoie ?
Alice : Non, personne ne sait que je suis la. Je suis partie sur un coup de tête pendant la réception après les obsèques de Tasha !
Betty : Quoi ? Tasha est morte ? Mais quand ?
Alice : Tu n’as pas le droit de fuir le bonheur. La plupart des gens n’ont pas votre chance. Quand ils se plaisent, ils ne tombent pas amoureux. Ou quand ils sont amoureux, ça ne marche pas au lit. Ou quand ça marche au lit, ils n’ont rien à se dire après. Mais Tina et toi vous avez tout pour vous alors pourquoi hésiter ? Regarde moi dans les yeux, dit moi que tu es heureuse et je repartirais comme je suis venue mais tu sais, nous n’avons pas été préparé au bonheur parce que nous n’avons pas été habitués au malheur. Nous avons grandi dans la religion du confort. Il faut savoir qui l’ont est et qui l’on aime. Il faut être achevé pour vivre une histoire inachevée et je crois qu’après avoir perdu 2 amours, je suis bien placée pour venir te chercher.
(J'adore l'attitude de Alice envers Bette ici, elle tire de son expérience pour empêcher Bette de continuer à agir de manière insensé, alors que sa douleur devrait la terrassé, elle pense en amitié)
Un seul mot sortira de la bouche de Jodi, laissant Alice perplexe: SISYPHE
Betty : C’est le nom d’un bronze sculpté par Jules Desbois en 1910.
Alice : Ah ouai est sa veux dire quoi ? Putain si on est pas artiste c’est tendu pour vous comprendre toutes les deux.
Betty (éclatant de rire) : C’est une phrase de Camus, le philosophe et écrivain français « il faut imaginer Sisyphe heureux ». Il voulait dire qu’on répète toute sa vie les mêmes bêtises mais que c’est peut-être ça le bonheur. En gros, il dit qu’il va falloir que je m’accroche à cette idée : Aimer mon malheur car il est fertile en rebondissements.
Alice : Ah ouai sympa la Jodi. Mais elle a pas compris que Tina te rendait heureuse ?
Betty : Si certainement et c’est bien pour cela qu’elle était amer, parce quelle aurait aimé être celle qui me rendrait heureuse.
Alice : Ouai et bien tu aurai du lui rétorquer ton Mektoub.
Betty : C’était pas trop le moment. La quitter est déjà suffisant. Je ne voulais pas lui faire plus de peine et puis, dans son premier essai philosophique, le mythe de Sisyphe, Camus qualifie Sisyphe d'ultime héros absurde. Il y établit pourquoi la vie, malgré l'absurdité du destin, vaut la peine d'être vécue. Donc ce n’est pas si négatif que ça. Je suis malgré tout un héro (dit-elle en plaisantant).
Alice : C’est cela oui, mais un héro absurde, n’oublie pas ce détail.
(J'adore ce dialogue en référence à l'art, surtout que Alice s'accroche pour une fois.)
Jenny : Vous savez plus d'un million de soldats américains ont combattu en Irak depuis le début de l'intervention américaine, le 20 mars 2003, il y a près de cinq ans. Près de 4.000 y sont morts et plus de 29.000 ont été blessés. Pour la plupart des Américains, il suffit d'éteindre la télévision pour passer à autre chose, mais pour les veuves, les orphelins, les familles des soldats la vie continue et c’est avec cette association que je souhaite leur venir en aide.
(Jenny en philentrope, c'est vrai que je l'imagine assez agir dans ce sens, elle a un bon fond en fin de compte)
Betty : Mon Dieu, j’ai l’impression que c’est notre première rencontre.
Tina : Quoi mais pourquoi ?
Betty : Tu te rappelles avant que je vienne te chercher à notre premier rendez-vous, tu n’arrêtais pas de m’envoyer des sms en me disant que tu étais stressée, bien que tu disais que c’était du bon stress.
Tina : Oh oui, ce quatorzième jour de juin, je m’en rappelle comme si c’était hier. Je te vois encore avec tes petites nattes, belle, élégante et tellement sur de toi !
Betty : Et moi qui te disait que je ne stressais pas car j’y allais au feeling ! Et bien aujourd’hui il en est tout autrement. C’est moi qui suis en stress !
(J'adore l'inversion des caractères à ce moment précis, ainsi que le flash-back pour faire le lien avec le début de l'histoire éternelle Tibette)
« Pas de mais, amuse toi bien pendant mon absence » « Tu le feras toi » « Bien sûr, Marina tu me connais quand même, lorsque nous vivons ensemble fidélité obligatoire mais lorsque nous sommes éloignées à cause de mon boulot autant en profiter pour faire des rencontres » « Je suis quand même un peu jalouse des autres filles » « Il ne faut pas mon ange, c’est toi que j’aime tu le sais très bien, mais tu connaissais mes conditions pour une vie commune » « Francesca je t’aime tellement » lance Marina en se blottissant dans ses bras « Fais ton expérience avec d’autres femmes, profite, découvre, amuse toi, avec le physique de rêve que tu as je suis sûr que ton bar va te ramener de superbes filles à draguer, elles voudront toutes venir dans ton lit » dit Francesca en lui caressant le dos « Et cela ne te gênes pas » « Ton cœur est à moi et cela me suffit, pendant mes longues absences avoue que laisser un corps comme le tien privée de sexe ne serait pas normal » (Je trouve ce passage très particulier, car il décrit parfaitemenet la relation hyper-complexe qu'entretiennent Franscesca et Marina, à la limite choquante pour un lecteur comme moi, mais jet rouve que l'auteur visualise cette relation à merveille)
« Je suis désolé mais quelque fois les hommes se comportent comme des êtres supérieurs » dit Tina un peu embêter par le comportement de son compagnon. « Quelques fois ? Vous rigolez c’est toujours comme ça avec eux, c’est pour ça que je préfère les femmes » (Je trouve qu'à cette simple phrase on reconnait le caractère bien tranché de Bette, sans compter que je me suis torude de rire en lisant ce passage)
« Betty c’est la première fois depuis que je connais que tu m’appelle si tard et que tu souhaites discuter » « C’est pas vrai » « Ecoute quand on se voit s’est pas vraiment pour parler, avoue que nous sommes plus souvent en position allongées qu’assises » Betty rigole devant la remarque judicieuse d’Alice. « Avec la langue ? » « Quoi ? » « Le baiser avec la langue » « Alice tu ne changeras jamais, non juste un doux baiser » « Et cela te suffit pour être amoureuse mais elle doit être canon cette fille » crie Alice (J'aime beaucoup la complicité qui règne dans cette fiction entre Bette et Alice)
« Désolé je ne suis pas de bonne humeur aujourd’hui, je crois que je vais rentrer » « Oui je pense que c’est bien mieux que de nous faire subir ton caractère de cochon » « Tu es toujours adorable » « Au moins je te dis la vérité » « C’est vrai et je préfère cela » avoue Betty en prenant son sac. (J'ai beaucoup apprécié ce passage, car enfin quelqu'un qui ose tenir tête à Bette et en même temps on voit que celle-ci apprécie la vérité par dessus tout.)
« Oui j’ai vu son match la semaine dernière, elle est bonne » « C’est vrai que sur les photos elle a un corps magnifique, qui me donne quelques idées » répond Alice en prenant un air gourmand « Je parlais de son niveau au tennis, patate » la taquine gentiment Betty (En plus de son humour légendaire, Alice nous fait toujours un effet rafraichissant par es quiprocos à tout vas. L'auteur a vriamenet superbement bien capté et intégré le caractère exceptionnel de Alice)
« Tu es très belle, je n’ai jamais rencontrée une femme aussi désirable que toi » « Désirable, j’adore ce mot » Et le pire c’est que lorsqu’elle m’a tenu contre elle, j’ai eu envie d’elle comme je n’avais jamais eu envie de quelqu’un » (Evidemmeent que le début de la relation Tibette est raconté d'une main de maître, mais ces deux passages sont ceux qui m'ont le plus plus par leur simplicité et leur intensité)
« Toi jeune fille il va falloir accepter que quelqu’un t’aide, autrement tu vas finir dans la rue » « J’y suis déjà » lance-t-elle d’un ton moqueur « Salut les filles je vous présente Shane ma petite protégée » « Ah ah » « Non Alice je n’ai pas couchée avec elle, comme vous c’est une amie » « D’accord, alors là c’est sérieux, si Marina ne succombe pas à ton charme c’est que tu es une fille intéressante, tiens assis toi » « Vous êtes merveilleuses, vous êtes des anges » « Tiens on m’a jamais appelé comme ça, j’aime bien » répond Alice « Marina un ange, moi j’aurai dit un démon » lance Betty en se marrant « Le démon de l’amour oui » dit Marina (L'arrivée de Shane au sein de la tribu est magnifique et l'amitié entre femmes qui y est décrite est somptueuse, chapeau bas)
« Pourquoi elle ne m’a pas appelé » demande Betty un peu triste « C’est ça, elle va te dire ouvre moi ton lit. Hey Porter reviens sur terre, déjà elle vient de rompre tu ne veux quand même pas profiter d’une femme dans ce moment là » dit Marina en lui mettant un claque derrière la tête « Dis donc, elles vont jamais y arriver » « Laisse tomber, Betty passe tout son temps libre sous la douche glacée » répond Alice Marina explose de rire. (J'adore voir Bette dans la faiblesse, la faiblesse de sa vie s'en va dire, et le soutien de ses amies est émouvant et drole à la fois. Il n'y a que là, au Planet avec la tribu que Bette ose se montrer telle qu'elle est vraiment et l'auteur nous le démontre avec panache.)
Il est 6h30 du matin, nous sommes le 3 Novembre à Los Angeles, Californie. Comme chaque matin à cette heure là le réveil sonne chez Tina et moi. Je me lève sans un bruit pour ne pas réveiller ma fille et ma femme. Je m’assois sur le bord du lit, enfile une robe de chambre, me gratte la tête et m’étire en baillant. Je me dirige encore dans la lune vers la salle de bain, je me déshabille et entre dans la douche. Je me frotte les cheveux au champoing et me frictionne le corps au gel douche comme à mon habitude. Je ressors de la douche avec la tête moins dans les nuages, Je sèche mes cheveux, les lisses en faisant bien attention à ne pas me brûler un bout de l’oreille, puis je m’habille et pour finir une touche de maquillage. 7 h 45 dernière retouche de maquillage, papiers, portable, Ipod, tailleur bien ajuster à la taille et aux bonnes couleurs. Une touche de parfum ici, un baiser sur les lèvres de Tina par là et ma journée pouvait commencer. (J'adore le début de l'histoire, à la première personne ou comme on dirait, selon Bette Porter. L'indication de l'heure donne une certaine intensité au récit et je me demande si l'auteur se reconnaît un peu dans ce rituel matinal, pj'ai comme l'impression que oui.)
9 h 00 : Moi : C’était l’époque ou j’avais encore cette coupe au carrée, elle était venue accompagnée d’un ami à moi, Gus, c’était sa petite amie à l’époque. Je n’étais encore qu’une simple petite conservatrice, et j’avais eu l’autorisation d’exposer une de mes toiles ! Phyllis : Ha j’ignorer que tu peignais ! Tu continues !??? Moi: Plus maintenant malheureusement, mes pinceau doivent être dans le garage à la maison. Bref…. Donc Tina s’est intéressée à cette toile, elle l’a acheter et une semaine après j’ai décrocher le droit d’un dîner aux chandelles et la semaine d’après elle avait gentiment plaqué Gus, qui ne m’a plus jamais adresser la paroles, puis Tina au fur et à mesure du temps, nous avons appris à nous connaître !!!! Et ça fait 8 ans, 8 mois et une quinzaine de semaines que l’on est ensemble !!!! Je fais relativement cours sinon je vais y passer la journée !!! Moi: Comme dirait La Rochefoucauld « Dans toutes les existences, on note une date où bifurque la destiné, soit vers une catastrophe soit vers le succès. » Pour moi ça a plutôt bien tourné !!! (J'ai beaucoup aimé la narration du début de la relation Tibette, un peu comme le paradis avant l'arrivée de l'enfer.)
12 h 00 : L’électricité était coupée, mon portable oublier dans la voiture. Le noir régnait dans la pièce j’entendais les coups de feu. J’avais peur, je n’avais jamais eu aussi peur de ma vie jusqu’à maintenant J’entendais les cris, les pleurs, les « maman viens me chercher » et les ricanements aussi, si froid, sans pitié des ricanements monstres, de la part de monstres. J’en avais froids dans le dos, j’étais persuadée qu’ils allaient venir me chercher d’une minute à l’autre sans attendre. Quand soudain, je me mis à penser à Tina et Angie. Les deux personnes les plus importantes dans ma vie, pour moi…. Je me demandais ce qu’elles allaient devenir sans moi, si je ne rentrerais pas à la maison ce soir …. Quand un coup de feu m’arracha de mes pensée puis un long et stressent crie se fit entendre, c’était tellement sourd … Quand un autre coup de feu beaucoup près de mon bureau se fit entendre, ils avaient tiré sur la serrure de ma porte. Mon cœur s’arrêté de battre un instant… (Ce simple paragraphe résume l'histoire dans son ensemble)
Josh : Alors maintenant petite lesbienne, elle va gentiment nous suivre, on va aller chercher Jodie Lerner ! Puis le tué aussi pourquoi pas ! Moi : Je vous interdis, de la toucher ! 10 h 00 : Voilà près de 24 heures que je n’avais pas de nouvelles de Jodie, qu’est ce qu'ils avaient bien pus faire d’elle ?? C’était l’une de mes plus grandes préoccupations !!! Mon but de la journée était de la retrouver... vivante… de préférence !! Deux des 8 agents spéciaux suivirent cette trace de sang. Et dans cette pièce il y avait deux corps, ceux de Phyllis et Jodie. Ce salaud les avaient tuées ! (J'ai beaucoup apprécié le sens de l'honneur et de la loyauté de Bette envers Jodie, même si malheureusemeent sa hargne ne servira à rien)
Ashley ( qui se tenait derrière moi) : Hoo mais c’est qu’elle a une alliance ? C’est une vraie alliance ou vous faites style d’être hétéro ???? Ashley : Alors il y a marquer « Le 17 juin 1999, de Tina pour Bette, je t’aime… » en tout petit mais c’est lisible quand même ! Avec deux cœurs graver aussi collé l’un sur l’autre ! Timo : Alors, comme ça c’est Tina hein ? Je lui cracha à la figure !!! Comment oser t-il prononcer son nom ?! Quand ils arrivèrent sur le seuil de la porte du labo, Ashley lança mon alliance le coin de la salle où se trouver les bacs d’acides, elle tomba dans ceux ci ! (Ce passage avec l'alliance et très poignant, il m'a pris aux tripes par son symbolisme)
23 h 00 : Tina qui était à la maison commençait à sérieusement s’inquiété !!!! 20h00 : Tina: Bonsoir, je viens voir Mlle Bette Porter. Josh: Je suis Josh son assistant. Pensées de Tina: Bette n’a pas d’assistant, à part James depuis le C.A.C .C’est louche, très louche cette histoire est loin d’être fini. Josh déstabilisé : Non madame. Quelle relation avez-vous avec Mlle Porter. Sinon vous ne pouvez entrer. Tina fièrement : je suis sa femme ! (Tina connait parfaitemenet Bette dans ces deux passages on le voit clairemeent. Un, elle a l'habitude que Bette reste tard au travail. Deux, elle sait avec qui Bette travaille. Sans compté cette fierté extra de lui appartenir)
00 h 00 : Tout le monde enfin presque dormait, le silence dominait à présent la pièce ou plutôt le couloir. Ce silence était lourd, c ‘était effrayent… Josh jouer à la consol portable, la même que Tina et moi avions acheté pour Angelica, la PSP il me semble. On entendait les bruits du jeu à laquelle il jouait, ça avait l’air violent mais pas aussi violent qu’ici !!! Bien sur Tina n’acheter pas ces jeux la à Angie non son style c’est plutôt Mickey ou encore Winnie l’ourson.. Bref, je ne devrait pas penser à ça… ça me perturberais davantage … (J'ai trouvé que ce passage montrait combien les choses les plus insignifiants de la vie peuvent être notre dernier recours dans une situation insoutenable et aussi que notre esprit à tendance à vagabonder dans tous les sens)
22h00:Elle guida son revolver jusqu'à sa temps droite, me fit un dernier sourire,le plus beau qu'elle ne m'avais jamais adresser jusqu'à maintenant ...le plus beau...Puis, elle pressa la détente, on pu entendre un grand et bruyant « PAN !!!!! » Et elle tomba au sol sur le côté gauche le revolver encore à la main... Et je restait là les yeux humide de larmes, je n'avais pas pleurer depuis la mort de mon père : Melvin... Je serrais le corps encore tout chaud d'Ashley dans mes bras, tout contre moi... Cette douleur faisait beaucoup plus mal que mes blessures physique... mes deux balles et autres blessures diverse. (Quelle grandeur d'âme de Bette à ce moment-ci du récit, fabuleux)
Shane : je vais restée ici pour Phyllis avec Molly ! Alice : on prend ma voiture ! (Le soutien des amies, à ne pas oublier)
4h30 du matin : Médecin : Votre femme a été touchée près du cœur, à côté d'une artère essentielle pour vivre. La balle est passer à deux mini mètre du ventricule droit et a malheureusement toucher l’aorte ensuite la balle est passer et a toucher la valvule sigmoïde et elle est sortis par l'artère pulmonaire. On appelle ça l'anatomie et physiologie du cœur ou plus simplement « La mécanique du cœur » Nous lui avons greffer une nouvelle valvule sigmoïde, une nouvelle artère pulmonaire et un bout d'aorte c'est une 1ere au États- Unis et ça a marcher. (Sans oublier la raison du titre, expliqué d'une manière médical après nous l'avoir si bien décrit de manière émotionnelle)
Et je vous laisse apprécier encore une fois les deux lettres.
Tina, ma Tina ma chère Tina..
Il est 19 h 00. Le noir et le silence inonde la pièce dans laquelle je me trouve actuellement, je n’ai pas l’habitude de t’écrire mais .. je sens bien que la fin approche. Il y a deux jours que mon cauchemar a commencer ..deux jours…ça fait deux jours que je ne vous ai pas vu toi et Angie, deux jours que je n’ai pas caresser ton visage, deux jours que je n’ai pas perdu mes mains à traverse tes beaux cheveux blond, deux interminable jours que je ne t’ai pas dis « Je t’aime » .. s’il te plait ne pleure pas. Ne pleure pas… Tu me manque déjà.. Et Angie ma petite Angie, deux jours que je n’ai pas jouer à la console avec elle, et toi seule sais combien je n’aime pas ça… mais je le fais car c’est ma fille et je l’aime tout autant que toi tu l’aime. Si je ne m’en sors pas surtout, surtout dis lui et explique lui que c’étais avec toi la plus belle chose que je n’est jamais eu dans ma vie….Explique lui que la haut dans le ciel sa mère veille sur elle qu’elle pourra lui parler si son autre mère est trop sévère avec elle…C’est peu être fini pour moi mais pas finis pour vous, continuez de rêver comme tu l’a toujours fais … Le sang coule sur mon visage, j’ai mal … mais ce n’est rien comparez à la douleur que j’ai en pensant à toi ..Adieux mon amours, je me sens si seule ici et penser à vous me réchauffe le cœur. Au moins si je meurs ce qui est fort probable ma mort sera digne..adieux mon amour. Je sais bien que tu risque de passer bientôt comme tu me l’a dit au téléphone mais je ne sais pas si je tiendrais j’ai trop mal..Adieux mon amour, tu a su à toi seule toucher mon cœur et mon âme …reste la même Tina que j’ai connus, la même extraordinaire amante, la même femme soucieuse que tu a étais pendant nos 8 ans de vie commune..en quelques mots reste tel que tu est quoi qui se passe…Si ma fin n’est pas programmer à ce soir je te réécrirais c’est promis… Et si toute fois un jour tu a besoin de parler à quelqu'un car tout le monde te tourne le dos même si je sais que personne ne le fera dans notre bande d’amies.. Adieux mon amour…je t’aime.. Embrasse Angélica pour moi sert la fort dans tes bras… Je vous aime plus haut que la Lune.. Je t’aime xxx
Bette Porter …
Tina,
j'ai longtemps parcouru ton corps effleurer cent fois ton visage, j'ai trouver de l'or et même quelques étoiles en essuyant tes larmes, j'ai appris par coeur la pureté de tes formes, parfois je les dessines encore, tu fais partie de moi , je veux juste une dernière minutes, avant ma mort et tout le reste, un tire puis mon silence, juste une dernière minute, même si je les vu partir, c'est pas de ma faute, les balles on pénétrées ma peau, c'est une douleur que je garde, qui me fait plus de mal que de bien, mais je connais mon histoire, il est déjà trop tard, dans mon regard, on peu apercevoir, que je me prépare au long voyage je veux juste une dernière minute avec toi, avant que je ne parte et la mort, je fermerais les yeux et partirais, juste une dernière minute avec toi, juste te voir une dernière fois, je peux mourir ce soir, ça change rien, j'ai reçu de tes mains, le bonheur encré dans mon âme, c'est même trop pour une seule femme, tout à l'heure je t'ai vu partir sans rien dire et sans réagir, il fallait seulement que tu respire, merci, d'avoir enchanter ma vie, avant l'ombre et la mort . j'ai longtemps parcouru ton cœur, senti maintes et maintes fois tes cheveux, j'ai trouvé des diamants en te disant « je t'aime » et même toute une rivière, un fleuve, une mer et même encore, tout un océan... Je t'aime
Bette Porter xxxx
merci pour tes commentaires sur la genese de l'amitié, j'aime beaucoup cette histoire j'y ai mis beaucoup de coeur et je pense que cela est bien passé à la lecture
c'est toujours agréable de savoir où l'histoire que j'invente intéresse le lecteur, cela permet de se corriger
compte sur moi pour revenir rapidement à ce niveau lol
hey je sais que tu est chez moi au moment la ou je t'écris mais merci beaucoup pour cette analyse literaire !!! j'ai ai mis tout mon coeur pour cette fiction, et j'espere sincerement que sa suite sera toute autant apprécier !!
biyouxxxx
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