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Là où tout a commencé... de Lword
"Bette : Al, je suis complètement paumée.
Alice : Qu’est-ce qui cloche ?
Bette : Je n’y arrive plus Alice, je les comprends plus
Alice : De quoi tu parles ? Tu as bu ou quoi ?
Bette : Mais non qu’est-ce que tu racontes ? Je parle des femmes, je croyais les comprendre mais je suis paumée.
Alice : Mmm… c’est un scoop ça, tu veux dire qu’il y a UNE femme qui réussi à te faire tourner en bourrique ?"
(J'ai beaucoup aimé ce passage, car il montre quelle genre d'amie Alice est, mais aussi que Tina n'est pas n'importe quelle femme et de voir une Bette fragile et paumée, c'est plutôt rare)
"Alice : Bette tu as l’air d’avoir passé une nuit blanche.
Bette : Très perspicace aujourd’hui mademoiselle l’investigatrice en chef du journal."
"Alice : Fantastique Dana ! Je ne sais pas comment te remercier.
Dana : C’était assez rigolo, c’est toujours aussi comique de passer du temps en ta compagnie ?"
"Bette : Tu as raison, le coin est vraiment sympa. Je serais heureuse que l'on puisse se revoir. Elles ne sont pas si nombreuses les personnes qui trouvent les articles et les discours d'Alice passionnants !
Shane : Tu te moques de moi !
Bette : Non, je me moque d'Alice. Si tu savais les bêtises qui sont capables de sortir de sa bouche, mais je l'adore."
(Je me suis beaucoup amusée par l'humour utilisé pour décrire Alice)
"Tina arrive dans la cuisine. Elle se tient au comptoir et reprend son souffle.
Pensées de Tina : Mais qu’est-ce qui m’arrive. Comment fait-elle pour me mettre dans un état pareil ? Il faut que je me reprenne et que je me conduise en adulte rationnel."
Créateur : Staphylo
"Tina : J’aime beaucoup celle-ci. Cette femme, couchée nue dans la jungle, a quelque chose d’incongru. Ce peintre naïf développe un univers onirique qui me touche…
Bette : C’est d’Henri Rousseau, dit le Douanier Rousseau, figure de proue de l'art naïf et précurseur de l'art brut. Il a peint une centaine de tableaux tout au long de sa vie. C'est principalement pour ses séries exotiques des jungles qu'il reste le plus connu."
(J'ai apprécié ce passage, car il montre que Tina n'est pas sans connaissance dans le domaine de l'art)
"Alice : Et puis, je ne suis sortie avec lui que pour son corps d’athlète… MMMh !!
Dana : Ça va, ça va, ce n’est pas la peine de nous faire un dessin !
Shane : Elle avait peut-être des travaux de force à faire, une armoire à déplacer ?" (L'humour de Shane est absolument génial ici)
"Bette : Si tu ne pars pas très vite, je ne réponds plus de rien. J’ai envie de toi…
[Tina se met au volant de sa voiture, ferme la portière, baisse la vitre et répond à Bette, en démarrant…]
Tina : Moi aussi… "
(Tina n'est pas forcément si prude que ce que l'on pourrait croire généralement)
"Pensée de Bette : Oh putain, quelle journée !! On dirait que toutes les pendules se sont arrêtées. Pourquoi est-ce si long ? Je n’avais jamais réalisé à quel point une heure pouvait être sans fin… La pile de ma montre doit être morte !! Et ce petit badigeonneur qui me prend la tête avec ses toiles… "
(Je me suis retrouvé souvent dans ce genre de situation où le temps s'écoule tellement lentement et aussi ou mon métier qui pourtant me passionne me semblait totalement dénué de sens)
"Pensées de Bette : Bon, Dieu, mais où ais-je pu mettre cette carte ??? Si je ne la retrouve pas, qu’est-ce que je vais bien pouvoir faire à manger à Tina ?? Ah ! la voilà, oui c’est bien ça : traiteur à domicile… Super, je les appelle."
Créateur: Po_one_day
Kit : Alors les filles, vous vivez toujours au milieu de morceaux de ferrailles et de toiles ?
Jodie : S'il te plaît... c'est de l'art !
Bette éclate de rire
(Cette scène montre tellement le décalage qu'il y a entre Jodie et Bette)
Marina : L'amour est une quête perpetuelle... et voici ton Graal !
Tina entre dans le Planet avec Angelica.
(J'ai beaucoup aimé cette citation)
Bette : Mais pourquoi m'avoir aider à renouer avec Jodie ?
Tina : Parce que tu es tellement belle quand tu es heureuse...
(Le caractère de Tina, très bien décrit dans cette phrase)
Bette : Ben tant que vous êtes toutes là, j'aimerait demandé à la mére de ma fille si elle ne voudrait pas devenir ma femme...
Shane : A croire que quand la poisse est tombée sur Terre j'étais aux premiéres lignes
(Le côté fataliste de Shane)
Tina : Oui tu as raison mon coeur... Mais j'aimerais tellement que tout soit parfait...
Bette : Bette sort de ce corps !
"L'harmonie la plus douce est le son de la voix de celle que l'on aime."
(Juste pour la beauté de la citation)
Shane s'assoit : Alors qu'est ce qu'on va manger de bon ?
Elle ouvre le menu et lit :
Nage de Coquille Saint-Jacques aux Petits Légumes ou Homard et sa Sauce à l' Américaine.
Médaillons de Lotte aux Ecrevisses et ses tagliatelles fraîches ou Daurade Grillée aux Herbes et Sabayon de Champagne.
Tournedos Grillé et sa Sauce aux Morilles ou Filet de Boeuf Wellington.
Pièce montée ou Nougat Glacé sur son Coulis de Framboises.
Shane : Il n'y a pas un fast food pas loin ?
Tina s'approche : Coucou les filles, ça va ?
Toutes : Oui ! On est heureuses ! C'est merveilleux...
Shane tout bas : sauf le menu...
Tina tout bas : il y a un fast food à 2min =)
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Tasha : Aller c'est fini tout ça... Je suis là... Je t'aime.
Alice se redresse d'un coup
Alice : Quoi ?
Tasha : Quoi quoi ?
Alice : Qu'est ce que tu as dit là ?
Tasha : Que c'était fini pourquoi ?
Alice : Aprés aprés...
Tasha : Que j'était là et... oh je vois... Je t'aime...
Alice : hiiiiiiiiiiiiiiii Moi aussi je t'aime !
Tasha : Aller viens on rentre...
Sur le chemin :
Alice : Tu sais cette chanson, je l'écoutais sans cesse quand tu étais là-bas...
Tasha : moi aussi...
Alice : Eh attend, tu entends quoi par c'est fini...
Tasha : Faut te suivre toi... C'est fini, c'est fini l'armée...
Alice : Mais enfin pourquoi ?
Tasha : Parceque je veux te garder prés de moi tout le temps, et je veux être libre de t'embrasser dans un lieu public...
(Alice qui saute du coq à l'âne sans cesse, mais un très beau passage de son amour partagé avec Tasha)
Tina : Helena travaille avec moi et...
Helena : Et est ton ex ! ça n'est pas négligeable...
Bette avec un brin de jalousie : Pas indispensable non plus !
(La lutte qui ne cessera à mon avis jamais entre Bette et Helena)
Helena : je ne veux pas vous mettre dans le pétrain...
Créateur : Elisha
Shane (s’adressant a Tina) : Ca suffit ton cynisme Tina. Jenny est ton amie et il lui ait peut-être arrivé quelque chose de grave.
Tina (exaspérée) : Mon amie ? Ca ne sert vraiment à rien que tu te mettes dans un état pareil. C’est peut- être une nouvelle frasque ou une nouvelle aventure à vivre pour de nouvelles saloperies à écrire. Qui sait ce qui a pu encore lui traverser l’esprit. On était en bord de plage : pourquoi pas un remake de Robinson Crusoé et je vois d’ici le titre : « Jenny seule au monde ».
(J'ai tellement du rire avec cette scène, car les paroles de Tina concernant Jenny aurait tout autant pu sortir de ma bouche)
Alice : L’amour est une catastrophe magnifique : savoir que l’on fonce dans un mur, et accélérer quand même, courir à sa perte, le sourire aux lèvres, attendre avec curiosité le moment ou cela va foirer. L’amour est la seule déception programmée, le seul malheur prévisible donc on redemande. Alors pourquoi tu n’en redemandes pas à Bette ?
(Cette sortie de Alice sur l'amour est absolument parfaite et à bien des égard on est obligé de lui donné entièrement raison)
Tina : C’est un signe tu sais car lorsque tu veux vraiment une chose, tout l'univers conspire à te permettre de réaliser ton désir et aujourd’hui je ne désire rien de plus que Bette. Elle prend toute la place. Aller au cinéma, manger, écrire, lire, dormir, danser, travailler… toutes ces occupations qui constituaient ma vie sont désormais sans saveur. Tu vas trouver ça stupide mais j’ai même acheté son parfum pour le respirer en pensant à elle, parfum dont elle porte le même nom que son créateur.
Alice : Ouai ça fait limite psychopathe, enfin je ne suis pas très bien placée pour te dire ça car j’avais quand même un autel à l’effigie de Dana par un temps.
(Preuve que l'amour peut mener à la folie)
Bette : Je pars vivre à New York.
Alice : Merde.
Bette : Je n’en attendais pas moins de ta part Alice.
Alice : Mais qu’est-ce qui t’ait passé par la tête Porter ?
Bette : Réfléchis-y au moins et s’il te plaît, ne le dis à personne, je préfère leur annoncer moi-même.
Alice : Ah ça il n’y a pas de danger que je vende la mèche. Ce sera peut-être la première fois que je garde un secret.
Bette : Je t’en remercie.
(J'adore la franchise d'Alice, même lorsqu'elle brusque)
Bette : Tina, qu’est-ce qui ne va pas ?
Tina : Quel culot tu as de me le demander.
Bette : Excuse moi, si tu ne veux pas me parler, je te laisse tranquille.
Tina : C’est ça, casse-toi, une fois de plus.
Bette : Pardon ? Si tu me parles comme ça j’aimerai au moins comprendre ce qui te pousse à le faire.
Tina : La rancœur, l’amertume, l’alcool, l’amour, à toi de choisir ce qui t’arrange le plus, comme toujours.
(J'adore les coups de gueule de Tina et surtout lorsqu'ils sont si bien décrits comme là)
formulaire
« Et bien j’ai décidé que notre groupe d’amies étaient, actuellement, en plein désordre amoureux, donc moi Alice, j’ai pris la décision de former ou reformer des couples, c’est ma nouvelle mission » lance très sérieusement Alice.
« Alice la tisseuse de toile » dit Helena en se levant pour rejoindre Marina au bar.
« Bah je ne gêne pas Alice, il est bien mon lit »
« Oui très bien, on dort, on parle ou on baise »
« Alice, tu es folle, on ne dort pas grâce à toi je suis bien réveillée maintenant, et on ne baise pas ensemble je ne fais pas perdre une amie pour quelques heures de plaisir »
« Quelques heures, waouh, Tina avait raison t’es un bombe alors »
(L'humour d'Alice)
« Ecoute Betty, j’aimerais te dire quelque chose, je ne sais pas si je vais réussir à te dire… »
« Tina, tu peux tout me dire, je ne suis pas despotique quand même »
« Bah quelque fois, si »
« A vos ordres chef Tina » disent les filles en rigolant
« Ma nana est un vrai tyran » répond Betty en regardant tendrement Tina.
(Si Tina et Bette pouvait vraiment se parler ainsi, il n'y aurait jamais de problème entre elles)
Betty prend le portable et réponds.
« Salut Helena………. Oui c’est bien le numéro de Alice………… madame était complètement saoul hier, elle a dormi ici………. Non Alice fait des grands signes et ne veut pas te parler……… non, non, ne raccroche pas, tu es vraiment amoureuse d’elle………… oui je suis au courant comme tout le monde …… depuis hier soir avec l’alcool Alice s’est un peu laissée aller………. Arrête tes bêtises, tu ne veux pas venir ici……..Bon allez on t’attends dépêche toi…. Tu viens compris autrement c’est nous qui arrivons…. Ok à tout à l’heure, bises »
« C’est quand les cadeaux, dis elle est où Tina » la petite regarde Betty qui est allongée sur le dos avec étonnement.
« Je cherche ma chaussette ma puce »
Tina qui est sous les draps dans une position délicate vient de lancer cette phrase ne sachant que dire.
Soudain Betty se met à éclater de rire.
« C’est pas drôle Betty »
« Ah si, c’est un code : je cherche ma chaussette pour désigner ce que tu faisais entre mes cuisses »
« Maman, j’ai quelque chose pour toi » Angelica lui tend une paire de chaussette.
« Ca c’est vraiment marrant »
Tina se jette sur Betty qui est assise sur le canapé et commence à la chatouiller.
(J'ai tellement dû rire en lisant ce passage, que je ne peut que vous encourager à lire cette fiction rien que pour ce passage-là! LOL)
Créateur: Isis95
« T’inquiète on va en profiter, je prends soin de ta sœur et toi prend soin de notre fille » répond Tina en s’engouffrant dans le taxi.
Tina se cambre sous les caresses expertes de Betty, et bientôt le chant des oiseaux est recouvert par leurs cris de plaisir.
(Que dire de plus que WOW. MDR)
« Cela me donne des idées » lance Betty en enlaçant Tina
« Betty arrête on est pas seule ici »
« Si le roi pouvait, pourquoi pas nous »
« D’accord, moi aussi je rêve d’un café » lance Betty en embrassant rapidement Tina.
« Oh les amoureuses » lance Angelica en rigolant.
« C’est la fête chez les voisines » lance Carmen
« Viens avec nous » répond Tina
Carmen entraine Shane et la partie de danse et de rigolade continue de plus belle. Kit, Angus, Alice et Helena arrive en même temps et découvre ce charmant tableau. Angus et Alice se mettent à danser et à faire le clown pour la plus grande joie d’Angelica.
(J'aime cette scène, car elle décrit parfaitement l'amitié qui lie la tribu)
« Je t’aime Tina, je sais que tu es contre le mariage mais je voulais te prouver mon amour, alors voilà »
Betty ouvre un écrin et montre une alliance en or.
« Betty je…. »
« Tu ne veux pas la porter » s’inquiète Betty
« Oh que si je le veux »
Betty avec émotion passe l’alliance au doigt de Tina.
« Attend et toi ? »
« J’ai la deuxième »
« Donne là moi je veux te la passer »
Tina à son tour lui passe l’alliance. Betty très ému vers une petite larme.
« Je t’aime Betty »
« Je t’aime Tina »
Elles s’embrassent et admire leur alliance.
« Inspecteur, je souhaiterais que Marina soit présente, vous comprenez nous vivons ensemble, j’insiste, ce sera mon seul caprice je vous le promets » supplie Jenny
(Si vraiment c'était son seul caprice! MDR)
« Oh Betty alors Paris »
" Fabuleux et en plus j’ai trouvé une artiste dont je veux te parler”
« Même en vacances, tu as vraiment l’art dans le sang toi »
Betty rigole.
« Sérieusement tu penses réussir à la faire changer d’avis »
« Compte sur moi, je suis tombé raide dingue d’elle »
« Quoi »
« Non de son travail Phyllis, rien que de son travail » répond Betty en voyant l’air étonné de sa directrice.
(Pour une fois que le travail de Bette a des points positifs)
Betty rejoint Tina en tenue d’infirmière.
(Je voudrai bien voir ça)
« Je m’en doute, tu sais l’attente est trop difficile, si cela continue je vais péter les plombs »
« Oh non, la célèbre Bette Porter que je connais ne va pas craquer, elle va tenir le coup et après quand Angelica sera en sécurité chez vous, là tu pourras pleurer toutes les larmes de ton corps, mais pas avant autrement le mythe de la femme dure et rigide va s’écrouler ma belle »
« Oh Alice il n’y a que toi qui peut me faire sourire dans une telle situation »
« C’est mon travail, Betty je suis soldat pas seulement pour servir mon pays, aussi pour aider des gens dans la douleur, je vous laisse »
(J'ai beaucoup aimé l'intégration de Tasha dans la tribu et son sens de l'honneur)
« Je t’aime Betty, mais je crois que notre couple n’aurai pas survécu si Angelica nous avait été enlevé »
« Je sais Tina, c’est le ciment de notre couple, je t’aime, à demain, repose toi tu en as besoin »
« Attend j’ai une idée, prend les oreillers, pendant que je prend une couette et des couvertures »
« Que fais-tu ?"
« On va aller dormir dans la chambre d’Angelica, je crois que pour cette nuit nous serons plus rassuré »
« Excellente idée »
Les deux jeunes femmes se retrouvent allongée au pied du lit de leur fille et là arrive enfin à s’endormir dans les bras l’une de l’autre.
(Quelle tendresse pour cette petite fille adorable, des mamans modèles Tina et Bette)
« C’est vraiment du gâchis »
« Pas pour tout le monde je vous rassure » répond Marina en lui faisant un clin d’œil.
« C’est vous qui craquer pour ma compagne » dit Jenny en le regardant
« Heu, je … » Scotty rougit
« Je rigole, Marina est une femme sublime, vous avez bon goût »
« Désolé mais lorsque je vois une belle femme je regarde c’est vrai, je dois dire que vous êtes toutes magnifiques »
« Quel homme, beau et galant » répond Betty en rigolant
« A votre service Mesdames » dit Scotty en se levant et en s’inclinant devant les filles.
(J'aime l'implication masculine de ces passages et leur questionnement par rapport à l'homosexualité féminine et ici sans préjugé, donc une ouverture d'esprit et de dialogue possible)
« Tu crois que c’est facile, vous avez toutes connue une enfance normale il n’y a que moi qui soit anormale dans ce groupe, comment puis-je être votre amie ? »
« Mais on s’en fou de ce que tu as fait » lance Betty en la regardant dans les yeux
« Tu es notre amie, on n’a pas à te juger, c’est aussi simple que ça » répond Alice
« Je ne mérite pas votre amitié »
« Arrête immédiatement, heureusement que Jenny n’est pas là elle t’aurait botté les fesses »
« Tu vas t’amuser ma belle, Betty aide moi »
Shane se retrouve dans la piscine sous les rires de Betty et d’Alice qui viennent de la pousser.
« Très drôle » dit Shane en souriant pour la première fois depuis un long moment.
(J'adore ces deux passage, car ils parlent de ce qui compte réellement en amitié)
« Un jour en me promenant je suis tombé sur une église, je ne sais pas pourquoi mais je suis rentré et je me suis retrouvé assise au fond à écouter le prêtre. Après le départ de tout le monde je suis resté assise, j’étais bien dans cet endroit. Une bonne sœur est venu me voir, elle n’a rien dit, elle s’est juste assise à côté de moi. Petit à petit on a commencé à parler, pour la première fois j’ai raconté ma vie et mes envies à quelqu’un, elle m’a écouté et conseillé, sans me juger. Je suis revenu tous les jours dans l’église et je discutais avec elle. »
« Grâce à elle, sœur Marie Isabelle, j’ai commencé la coiffure, j’ai réussi à travailler régulièrement et mettre à avoir un boulot fixe dans un salon tenue par un des paroissiens.»
« C’est pour ça que tu as une croix autour du cou »
« Exact Alice, c’est sœur Marie-Isabelle qui me l’a offert, j’y tiens c’est la première fois que l’on m’offrait un cadeau sans arrière pensée »
(Cette scène m'a beaucoup interpellée et touchée. Je me demande si c'est en partie autobiographique, car ça parait tellement vrai?!)
« Toujours célibataire alors Alice »
« Oui, mais cela ne me gène pas, la preuve j’ai passé une nuit torride avec Betty »
« Arrête Betty m’a raconté, tu a ronflé toute la nuit » répond en rigolant Tina
« Quoi ? »
« Et oui ma belle tu ronfles »
« Tu aurai pu garder ça pour toi quand même »
« Aucun secret entre nous » dit Betty en prenant Tina par la main
(L'amitié et l'amour en parfaite harmonie et co-existence, le rêve!)
(J'ai également trouvé très originale de nous présenter le genre de musique que l'auteur écoutait en écrivant ces passages, car ça donne une autre dimension et un autre lien entre l'auteur et le lecteur, bravo.)
Le soir vers 19 heures j’arrive à la galerie, et découvre un endroit rempli de gens un peu prout prout (tu vois ce que je veux dire) et j’aperçoit une magnifique brune moulé dans un pantalon noir et une chemisier blanc, qui s’approche de moi. Et oui tu as compris c’était Betty. Je l’interviewe et cela se passe bien, très bien, je dirais que le courant passe. Tu connais Betty, elle m’invite à boire un verre dans un bar après la soirée. Bien évidemment j’accepte, captivé par sa beauté et son allure. Ce qui devait arrivé, arriva, nous passons la nuit ensemble. On se revoit régulièrement, je ne dirais pas que c’était de l’amour, non juste une passion commune. Elle me fait découvrir le Planet son lieu préféré après le boulot, je fais connaissance de Marina et de Kit. Et puis un jour je me rend compte que Betty est ailleurs, et oui elle vient de rencontrer Tina, et là tous se transforme je comprend tout de suite que là c’est de l’amour qu’elle ressent pour elle.
Oui c’est vrai je te cache quelque chose, mais comment te dire que je suis en train de tomber amoureuse d’une femme que je ne peux aimer et en plus je ne la connais que depuis à peine un mois.
Il faut que je dorme un peu, tu me manques toujours
Ton Alice
(Quelques extraits de la lettre à Dana qui m'ont beaucoup plus)
« Tasha sera présente »
« Oui, cela te gêne »
« Non, et je suis sincère, je pense qu’elles formeront un très beau couple si elles arrivent à surmonter tous les problèmes liées à son métier. Je vais m’excuser auprès d’elle pour mon comportement »
« Je retrouve enfin la Helena généreuse que j’adore »
« Tu es bien la seule à m’adorer »
« As tu déjà aimé une femme dans ta vie » demande soudain Tina sérieuse
« Oui je crois, mais cela n’a duré que le temps d’une nuit »
« Dylan »
« Oui, j’ai été folle de croire qu’une femme comme elle pourrait aimer une femme comme moi »
« Une nuit et tu y penses toujours »
« Oh oui, tu ne peux pas savoir la nuit que nous avons passé, c’était la plus sensationnelle expérience érotique et sexuelle que j’ai connu dans ma vie, Dylan m’a fait découvrir des sensations que je n’avais jamais connu »
« Waouh, et bien dis donc, c’est de la passion c’est sur, bon tu t’habilles on va être en retard, Betty est seule pour tous préparer » dit pensivement Tina
(J'aime l'amitié de Tina et Helena, si seulement elle avait pu exister depuis le début, sans tout le reste, soupir!)
Alice se penche pour l’embrasser mais Tasha se recule.
« Non pas encore, c’est trop tôt »
« Bah il est quand même deux heures du mat, c’est plutôt tard non ? »
Tasha sourit devant la mine que vient de prendre Alice.
« Ne me laisse pas dans cet état pendant deux semaines »
Tasha rigole devant la grimace que fait Alice.
« Et moi alors tu crois que je ne crève pas d’envie de te prendre là tout de suite »
« Ca me très bien » sourit Alice
« Non pas moi, je veux que notre première nuit d’amour soit un souvenir flamboyant pour nous deux »
« Alors tu vas partir »
« Oui je suis obligé, mais Alice dès que je reviens je vais te faire l’amour comme jamais on ne te l’aura fait avant »
« Magnifique promesse, mais après tu pars en Irak »
« Entre, tu veux quelque chose »
« Oui toi »
Tasha la soulève et la jette sur le lit, elle s’effondre sur son corps et la caresse en l’embrassant. Alice impatiente essaie de lui enlever son treillis, mais n’y arrive pas.
« Je vais le faire, tu sembles un peu nerveuse » sourit Tasha
« Comme si c’était la première fois »
« C’est le cas ma belle »
« C’était magique, j’ai tellement imaginé ce moment, j’ai fais des rêves érotiques toutes les nuits depuis ton départ »
« Moi aussi, et crois moi lorsque tu dors à la belle étoile avec une vingtaine de mec ce n’est pas très simple de se contrôler, heureusement que je ne parle pas en dormant, mes hommes n’aurait pas compris que je hurle ton prénom »
« Tasha, j’ai rêvé de toi et te voilà, ton corps d’ébène contre mon corps d’ivoire, l’accord parfait »
(J'adore la relation Tasha-Alice et cela particulièrement dans cette fiction, car elle alterne magnifiquement bien entre amour et humour)
17 décembre Crocker Art Muséum à Sacramento
Bette : La collection asiatique est époustouflante.
Tina nostalgique : En effet, ça me rappelle notre voyage au Népal.
Cette phrase laisse Bette pensive, elle ferme les yeux.
Des images de Katmandou, de ses temples, des ses habitants et le toit du monde défilent devant ses yeux. Le rire de Tina en compagnie des enfants népalais, ce rire témoignant de tant de bonheur, le rire de Tina, le rire de l’amour. « De la discussion jaillit la lumière… »
Bette : Te souviens-tu de certaines choses que le moine du temple Maru Satal nous avait dites ?
Tina surprise : Ca fait des années que je n’y a pas pensé. Il avait dit qu’il avait quatre paroles de sagesse à nous laisser.
Bette : De la discussion jaillit la lumière.
Tina : C’est ça et cette phrase qui nous avait tellement fait rire, attends que je me souvienne, ah oui : Il faut accepter les coups de pied de la vache…
Bette : …comme on accepte son lait et son beurre. Puis il y avait encore : Ne coupe pas les ficelles…
Tina :… quand tu pourrais défaire les nœuds. Et la dernière : Un diamant avec quelques défauts…
Bette en murmurant : … est préférable à une simple pierre qui n’en a pas.
Les deux femmes continuent leur visite dans un silence plus que religieux.
la description des relations Tina/Betty est parfaitement mis à jour, l'amour qui les unit mais la difficulté de se le dire... la boudhisme qui s'invite dans leur relation : j'adore
en quelques souvenirs Betty se rend compe de ce qu'elle rate... le doute s'insttalle
de plus on voit très bien la complementarite des deux femmes...
Tina tout bas:tes pas la seule ma belle
James:un appel sur la une
Bette:qui est ce ?
James avec un grand sourire:sans doute votre destin...
Bette:quoi?oui Tina! quelle surprise pourqoui tu m'appelle au travaille?
(J'aime la référence au destin, comme si rien ne pourra jamais empêcher Bette et Tina de se retrouver)
Shane en rigolant : slt ma femme préféré ...
Jenny en rigolant aussi : slt mon homme préféré
(Jenny et Shane, une amitié atypique, mais splendide!)
Jenny:En revanche ,il y a un problème avec bette et jodi,la cause de cet incendie est volontaire d'après ce que m'a dit kit terrifié la pauvre.
(Encore un rôle à la mesure de Jodie)
Bette: certe facile à avoir , mais pas facile de la garder,hein Shane?et elle lui fait un clin d'oeil
(Beaucoup de sagesse dans cette phrase de Bette)
Alice: au faite ou sont Marina et Jenny?
Shane: sans doute en train de s'envoyer en l'air
tout le monde rigole a nouveau
Alice: toi Shane rien de tel que du sexe pour oublier tout tes ennuis
Carmen en lui pinçant la joue : même hier soir c'était juste pour oublier tout tes ennuis
Shane: oh que non hier soir c'était de l'amour
Carmen:tu me touche là et elle l'embrasse
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Bureau de Garret.
Jordan en furie : Woody, qu’est-ce que ça veux dire ?!
Garret la reprenant : Jusqu’à preuve du contraire, c’est mon bureau ici Jordan et tu n’as pas à y entrer comme bon te semble.
Jordan n’y prenant nullement garde : Ce n’est pas parce que Tina Kennard avait rendez-vous l’après-midi même avec Jodie Lerner que ça fait d’elle une meurtrière.
Woody haussant le ton : Ah ouais, elle est la seule à avoir un mobile et pas des plus petits je te signale. On appelle ça un crime passionnel !
Jordan secouant la tête : N’importe quoi, et je te signale qu’à part son ADN sur un des verres, on n’a que dalle !
Woody hurlant presque maintenant : Je vais la cuisiner un peu et elle finira par avouer.
Garret s’en mêlant enfin : non, mais ça va pas vous deux, vous oubliez qu’on est dans une morgue, un peu de décence par Dieu.
Jordan en sortant : Tu n’es plus à Boston bordel, ici on pratique la peine capitale !
Ce passage me rappel la série PREUVE A L'APPUI, j'imagine très bien Jordan et Woody qui comme souvent s'engueule
très bonne description de l'atmosphere de cette série
Au Planète.
Alice décidée : Hé les gars, qu’est-ce qu’on va faire pour sortir Tina de là ?!
Max : Que veux-tu qu’on fasse ? Elle a tué un être humain je te signale.
Shane : Ca, ça reste encore à prouver.
Helena : Nous savions tous que ça ne se passait pas bien entre Jodie et Tina, mais je n’aurais jamais pensé que ça se terminerait ainsi.
Alice outrée : Je vous signale qu’on parle de Tina là et non de n’importe quelle psychopathe. Tasha dis quelque chose à la fin !
Tasha : Je ne connais pas Tina depuis si longtemps, mais vous la voyez vraiment commettre un meurtre, elle qui au moindre faux pas est rongée par la culpabilité.
Shane : Tasha a raison, je n’ai rien vu de telle sur son visage lorsqu’on lui a rendu visite à la prison.
Alice : Elle a été piégée.
Jenny : Vous délirez totalement là. Tina ne supportait plus que Bette se fasse baisée par une autre femme qu’elle, et elle s’en est débarrassée, c’est aussi simple que ça. Moi je me casse, salut !
Alice incrédule : Et toi Kit, tu penses vraiment que Tina aurait pu faire ça ?
Kit hésitante : Bien sûr que non, mais il s’agit de ma sœur, alors il m’est impossible de prendre position dans cette affaire.
Alice excédée : Alors on reste là sans rien faire ?!
Helena : A part les soutenir toutes les deux, on n’a pas trop le choix.
La troupe se retire pour retourner chacun à son occupation, sans savoir que rien de leur discussion n’a échappé à Bette arrivée au Planète quelques instants plus tôt.
A l’aube, Angelica vient réveiller ses deux mamans.
Angelica surprise s’exclame : Maman, maman, vous dormez de nouveau ensemble, vous n’êtes plus fâchées alors !
Ce n’était pas une question, mais une affirmation, Bette et Tina l’ont bien compris.
Bette regardant Tina : En effet ma puce.
Angelica saute sur le lit et arrache enfin un sourire à maman Tina.
Angelica : J’ai faim, on va manger le petit déjeuner chez tata Kit d’accord !
Cette fois-ci c’est Tina qui regarde Bette qui lui fait oui de la tête.
Tina : D’accord, laisses tes mamans s’habiller et l’on arrive.
Angelica sort de la chambre en sautillant, laissant Tina et Bette seules.
Bette repris par l’émotion : Elle est tellement belle et pleine de vie…
Elle s’effondre sur le lit. Tina la prend dans ses bras et pleure avec elle.
Bette après avoir versé toutes les larmes qui lui restaient : Je vous aime tellement Angelica et toi.
Tina tristement : Nous aussi on t’aime Bette.
Bette fixant Tina dans les yeux : Ce n’est pas ce que j’ai voulu dire.
Elle dépose un chaste baiser sur les lèvres de Tina.
Bette suppliant : Attends-moi Tina, pour l’instant je n’aurai pas de répit avant que le meurtrier de Jodie soit derrière les verrous, mais s’il te plaît, attends-moi.
Tina déposant à son tour un chaste baiser sur les lèvres de Bette : Je t’attendrais Bette, toute ma vie s’il le faut.
Bette qui sait qu’elle ne doit pas se laisser aller à trop d’émotions, du moins pour l’instant, s’empresse de changer de conversation.
Alice presque hystérique en apercevant Bette : J’ai trouvé, j’ai trouvé, je sais ce que Jodie a voulu dire à Tina !
Bette l’invite à prendre un siège : Du calme Alice, explique-nous ça en détail, mais tout d’abord tu pourrais saluer Carmen.
Alice qui prend enfin conscience de la présence des autres : Ca par exemple Carmen et Tina, qu’elle joie de vous voir !
Carmen en riant : Tu n’as pas changé Alice, toujours aussi passionnée !
Tina : Tu as donc retrouvé la personne dont Jodie voulait me parler ?
Alice : Pas exactement.
Shane : Que veux-tu dire ?
Alice : Nous avons toutes pensées que Jodie faisait référence à une personne en nommant Sainte Monique qui est la mère de Saint Augustin, mais après mure réflexion,je pense plutôt qu’elle faisait référence à Santa Monica.
Carmen perdue : Et qu’y a-t-il à Santa Monica ?
Bette gagnée par l’enthousiasme de Alice : La réponse que nous cherchons !
Bette s’empresse de mettre ses amies au courrant de toute l’histoire.
Ah Tina toujours prête à foncer pour aider ses amies, c'est comme toujours dans une fiction de Théa1, très écrit et décrit. J'aime de plus en plus le personnage d'Alice
9H du matin, 2024 Los Angeles Road, Santa Monica.
Tina essayant de raisonner Bette : Tu vas faire quoi là, tu ne peux pas simplement de pointer comme ça chez lui !
Carmen se fait la voix de la sagesse : Surtout que nous ne savons pas s’il est vraiment coupable.
Alice directe : Tu veux rire, tout l’accuse, ça ne peut être personne que lui !
Shane : D’accord, mais s’il est coupable, il n’aura plus rien à perdre. Un meurtre de plus ou de moins ne lui fera ni chaud ni froid.
Bette criant : Pas si je le massacre avant !
Tina criant aussi fort qu’elle : Et après quoi, tu te retrouveras en tôle pour meurtre ! C’est ça que tu veux ?
Bette hurlant : Parce que tu crois qu’il a hésité lui pour Jodie !
Tina au bord de craquer : Et Angelica… et moi… tu y a pensé… Jodie n’aurait jamais voulu que tu bousilles ta vie, et nos vies à toutes, pour elle !
Bette cassante : Qui es-tu pour parler en son nom !?!
Tina qui pour une fois ne lâche pas prise : Une femme qui t’aime tout autant qu’elle t’aimait !
Bette qui ne s’attendait nullement à une telle réaction de la part de Tina, qui pendant leur sept années de vie commune se pliait toujours devant ses crises de colère, ne sait plus quoi répliquer et se tait. Déjà les sirènes des voitures de polices retentissent à proximité.*
Enfin une Tina combative qui ne se laisse pas faire... les quelques mots suffisent largement à voir que cette fois-ci Betty ne prendra pas le dessus
Mon Amour,
Je t’ai dit un jour que je me savais n’être la femme d’une seule. Désormais ce jour me semble bien loin, à vrai dire je me demande même s’il a vraiment existé ou si c’était juste mon imagination.
Tu as su briser mon cœur pour le recoller morceau après morceau pour ainsi le faire tien. Tu as fait de moi une femme plus accomplie que jamais en chamboulant de fond en comble ma vie et mon univers, même mon art a été transcendé par ta présence.
Je te revois la première fois que tu as pénétré mon antre en signant tes premiers mots. Je ne te l’ai jamais dit, mais j’étais encore plus terrifiée que toi ce soir-là. La première nuit passée dans ton lit m’a ouvert un monde que je ne soupçonnais pas.
J’ai dit un jour à Alice que je n’aimais que le sexe sauvage et que la tendresse m’ennuyait, mais je ne savais alors pas ce que signifiait ce mot. Chaque regard, chaque caresse, chaque geste de ta part est devenu au fil du temps tendresse pour moi, une tendresse dont je ne pouvais plus me passer. J’ai trouvé auprès de toi ce que j’ai cherché durant toute ma vie et même si ça n’a duré que trop peu de temps, sache que chaque seconde de notre histoire s’est transformé en une éternité dans l’infini du cosmos.
Je veillerai toujours sur toi où que je sois et j’espère que tu me garderas toujours une petite place dans ton cœur, mais je t’en prie ne te renferme pas dans mon bon souvenir, ni dans le travail, ni dans les verres de bourbon qui je sais sont ton remontant favori. Je veux que tu vives à deux cent à l’heure, car la vie a tellement à offrir, même si elle est toujours trop courte.
Toi et moi savons qu’une personne t’a attendu toute sa vie et qu’il est temps pour toi d’aller la rejoindre. Ne te sent pas coupable de ce sentiment que tu éprouves pour elle et qui ne t’a jamais complètement quitté, car je n’éprouve aucune jalousie à son encontre, même, je comprend parfaitement ce qu’elle ressent puisque je ressens la même chose qu’elle pour toi. Ce n’est pas une trahison, juste la vie qui continue et Angelica a besoin de ses deux mamans pour lui assurer toutes les chances pour réussir sa vie.
Je t’aime pour l’éternité Bette, et un jour pour sûr, nous nous reverrons, mais crois moi, le plus tard possible sera le mieux.
Prends bien soin de toi et s’il te plaît décide enfin de publier tes propres œuvres, car toi aussi tu es une artiste remarquable.
Avec tout mon amour
Jodie
Que dire de plus, Théa1 tu as sortie "tes trippes" sur cette lettre, c'est magnifique